Close-up of a surprised owl, representing common culture shocks

De Singapour au Québec : les chocs culturels du quotidien qui m'ont surpris

Ce qui m’a vraiment surpris après avoir vécu en Corée, à Singapour, en Australie, en Nouvelle-Zélande et finalement m’être installé au Canada.

Lorsqu'on s'installe à l'étranger, on s'attend à de grands changements : nouvelle langue, nouvelles saisons, nouvelles taxes. Mais honnêtement ? Ce sont les petits détails du quotidien qui peuvent vous faire trébucher.

Originaire de Corée du Sud, j'ai vécu en Australie, à Singapour, en Nouvelle-Zélande et maintenant au Québec. Le Canada est notre plus longue étape jusqu'à présent, et même si j'ai appris à aimer beaucoup de choses ici, certaines habitudes culturelles m'ont vraiment surpris, surtout en tant que parent avec deux enfants. Plongeons dans quelques chocs culturels inattendus qui m'ont poussé à partir. « Attends, vraiment ? »


🎄1.The Never-Ending Winter & The Mandatory Snow Suit

I thought I knew winter, having lived in Korea. But Québec winter is a different beast entirely. It’s not just the temperature, it’s the sheer duration. I remember arriving in April and being shocked to see it snowing! I’ve even seen snow as late as May, turning ‘spring’ into a never-ending cycle of coats and boots.

The biggest shock as a parent? The mandatory snow suit (habit de neige). In Korea, kids wear school uniforms; here, the snow suit is the uniform for six months of the year. Finding the right snow suit—one that’s warm enough, waterproof, and doesn’t restrict movement—is a major annual parental mission, unlike anything I’d ever experienced in other countries. You quickly learn that investing in quality winter gear isn’t a luxury; it’s survival.


🔤2.French is Really the Boss Here

Honestly, before arriving, I thought I was simply moving to Canada. I didn’t fully grasp that Québec operates on a different, very strong linguistic commitment. I arrived mid-pregnancy, only knowing that French was spoken, but quickly realized: it’s not just a language you can speak—it’s a language you must speak to truly navigate life here. The intensity of French presence was a genuine shock, highlighting a huge difference between Québec and the rest of Canada.

When we decided to settle in Montréal, I knew French was important. But I was still surprised by how dominant the language is, even in a diverse city like Montréal, and especially in the suburban South Shore. In countries like Singapore, even official language environments feel fluid and multilingual. Here, the commitment to French is absolute, affecting everything from road signs and government communication to school. While I appreciate the cultural commitment, it was a shock to realize that English is merely a ‘bonus’ in many bureaucratic settings. Ultimately, this strong presence of French has been a challenging, but important, push for my family to integrate fully into Québec society. It’s a commitment I respect, and we continue to see the value it brings to our community and culture. This reality forces us, as immigrant parents, to navigate the francization process diligently, which has been a major learning curve—far different from the gentle multilingual environments I was used to.

🧾 3. People Still Use Checks?

En Corée du Sud et à Singapour, je n'utilisais jamais de chèque ; tout, des courses aux frais de garderie, était géré via des applications ou des codes QR. Alors, quand nous avons déménagé au Canada et que notre la garderie nous a demandé de payer par chèque, j'ai effectivement dit, « Attends, j’ai bien entendu ? »

Je croyais que les chèques étaient révolus depuis longtemps ! J'avais l'impression de remonter le temps de quelques décennies. Nous ne recevions même pas notre remboursement d'impôt par chèque ; c'était un dépôt direct. Mais apparemment, de nombreux petits services comme les garderies à domicile ou les activités parascolaires préfèrent encore les chèques papier. Nous avons dû commander un chéquier pour la première fois depuis des années, juste pour suivre le rythme.

Commander un chéquier peut sembler révolu, mais c'est souvent assez simple auprès de votre banque. Et si les chèques existent toujours, de nombreux petits services et particuliers y ont également recours. virements électroniques, qui sont des paiements numériques très pratiques directement de banque à banque.

👉 Si vous êtes nouveau dans le secteur bancaire au Québec, vous pouvez consulter mon article sur quels comptes chèques sont les meilleurs pour les nouveaux arrivants.


🥗 4. School Lunches: Pack It or Pay for It?

In Canada, most elementary schools don’t provide hot school lunches like we’re used to in South Korea. Here in Québec, parents usually have to pack lunch every day or sign up for a paid lunch supervision program—and even then, it’s often cold food or the occasional catered meal. When I first experienced this system, I was honestly overwhelmed.

I remember my mom and friends back in Korea asking me, “You have to prepare lunch every day? That’s impossible! How do parents manage?” It really was a cultural shock. Back home, every school has a licensed nutritionist (영양사 선생님) on staff. Meals are freshly prepared on-site each day by school cooks. The menus are designed to be nutritionally balanced, with rice, soup, vegetables, and protein.

Of course, not every lunch was delicious, but I always appreciated having a warm, well-rounded meal every single day without worrying about packing it myself. It’s a system I truly miss—especially now as a parent packing lunch boxes while managing work, younger siblings, and school schedules.

Honestly, packing two separate, allergy-safe lunches every morning is the most time-consuming part of my day. For any newcomer parent, the first thing you must know is the strict No-Nut policy across most Québec schools, which is different from Korea. You have to check every single label! I do pack small desserts, and I often rely on brands like Made-Good because they are reliably nut-free and easy to find here.

My biggest tip? Invest in a quality Stanley-style food jar (thermos) for warm meals during the harsh Montréal winters. It’s a game-changer when cold sandwiches just won’t cut it, and it gives me peace of mind knowing the kids are getting something warm during the day.

Quick Tip on Catering Services: Our school does offer an external catering service, and while I’ve used it a few times, my kids (and my friends’ kids) were usually not huge fans of the taste or variety. If you decide to sign up, always check the menu options with your child beforehand and ask them how their lunch was afterward. Be mindful that if you need to cancel the service, they often provide credit instead of a cash refund, and sometimes you have to wait until your child graduates to receive the remaining balance—I’m waiting on credit from my first son’s account now, ha ha!


🏥 5. “Free” Healthcare—If You Can Wait

Oui, le Canada a soins de santé universels, et c'est un vrai soulagement de ne pas avoir à se soucier des factures d'hôpital. Mais en tant que maman, je dois aussi dire : ça peut être très lent.

Obtenir un médecin de famille au Québec peut prendre des mois, parfois des années—vous postulez via le plateforme officielle du GAMF et attendez. Si vous n'êtes pas encore jumelé, vous pouvez vous fier à votre CLSC local, à vos cliniques ou à 811 pour une aide non urgente.

Et aux urgences ? En théorie, le temps d'attente moyen est de 4 à 8 heures, mais en réalité, j'ai attendu 10+ heures dans certains hôpitaux montréalais pour les cas non critiques. Vous pouvez consulter les temps d'attente en temps réel sur le Tableau de bord des urgences du Québec iciL’Ontario dispose d’un site similaire par région.

Nous approfondissons ce sujet dans mon article sur comment naviguer dans le système de santé en tant que nouvel arrivant au Québec, y compris comment faire une demande de RAMQ, trouver des dentistes pédiatriques et réserver des examens de la vue.


💳 6. Transit Cards & Credit Cards: Why Aren’t They Together?

En Asie, ma carte de crédit doublé d'un pass de métroC'était élégant, facile et rapide. Mais au Canada ? Il faut avoir une carte de transport distincte, comme celle de Montréal. Carte OPUSIl n'est pas lié à votre banque, ne se recharge pas automatiquement à moins que vous ne le configuriez, et n'est pas très intuitif au début.

J'avais l'impression de revenir dix ans en arrière dans le monde de la technologie. Je me suis même demandé : « Comment se fait-il que tout cela ne soit pas encore connecté ? »

Oh, n'oublie pas de enregistrez votre carte OPUSSérieusement, c'est une solution révolutionnaire. En cas de perte, votre solde est protégé et vous pouvez obtenir un nouveau ticket sans perdre tous vos titres de transport. Un petit geste pour une grande tranquillité d'esprit !

A Funny Money Mindset Shock

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🧠 Réflexions finales : Petits chocs, grands ajustements

Ces différences peuvent paraître minimes, mais elles s'accumulent lorsqu'on s'installe dans un nouveau pays. Et surtout lorsqu'on essaie d'aider son prochain. les enfants s'adaptent tout en restant sain d'esprit.

Mais honnêtement, les chocs culturels n'étaient pas que négatifs : ils rendaient la vie plus intéressante. Et ils m'ont donné matière à rire, à me défouler autour d'un café avec des amis, et maintenant… à partager avec vous 💛

❓ Avez-vous déjà vécu des chocs culturels comme ceux-ci ?

  • Avez-vous déjà attendu plus de 8 heures dans une salle d’urgence canadienne ?
  • Votre enfant a-t-il demandé : « Où est la dame de la cantine ? » à l’école ?
  • Avez-vous dû réapprendre à écrire un chèque ?

Laissez un commentaire ci-dessous. J'aimerais entendre vos histoires, surtout si vous êtes un parent nouvellement arrivé !

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